A l'occasion de la journée internationale des Droits des Femmes, Nicolas Sarkozy s'est publiquement interrogé sur l'utilité d'une telle journée, déclarant : "aujourd'hui, la vie des femmes ressemble à la vie des hommes".
A l'occasion de la journée internationale des Droits des Femmes, Nicolas Sarkozy s'est publiquement interrogé sur l'utilité d'une telle journée, déclarant : "aujourd'hui, la vie des femmes ressemble à la vie des hommes".
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Michel Sapin, secrétaire national à l'économie, a réagi à l'annonce du Premier ministre de vouloir réformer l'ISF pour compenser la suppression du "bouclier fiscal"
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Mercredi à Clamart, Martine Aubry, première secrétaire du Parti socialiste, a lancé un appel "pour une autre politique du logement"
Signez ici le texte de ce appel !
La crise du logement touche un nombre croissant de Français. Les dépenses de logement s’alourdissent pour un grand nombre de Français et deviennent insupportables pour beaucoup. L’effort pour se loger consacré par un ménage peut atteindre 50 % des revenus dans le parc privé. L’accès à un logement décent et abordable devient de plus en plus difficile : jeunes, étudiants, familles qui s’agrandissent ou divorcent, foyers aux revenus modestes, personnes âgées sans compter les plus démunis. Désormais même les classes moyennes sont concernées. Les politiques d’accès au patrimoine via la propriété immobilière n’ont fait qu’accentuer les inégalités, une véritable fracture générationnelle est en train de se dessiner avec un nombre important de jeunes ménages qui renoncent à acquérir leur logement.
En dépit de l’autosatisfaction du gouvernement, la situation s’est aggravée : il n’y a pas aujourd’hui dans notre pays un élu local qui n’ait été interpellé par un citoyen à propos d’un problème de logement. Tous constatent un allongement de la liste des demandeurs de logements sociaux en attente. Trois millions de Français selon l’Insee sont confrontés à une situation de grande précarité face au logement. Bien plus si on y ajoute l’ensemble des Français qui ne sont pas logés convenablement. Depuis dix ans, le coût du logement a explosé et ne correspond plus aux revenus d’une très grande majorité de ménages.
Nous, élus locaux, nous sommes engagés avec énergie et imagination, souvent en mobilisant d’importants moyens financiers pour tenter localement d’atténuer cette crise et répondre au mieux aux besoins des habitants de nos territoires. Force est de constater qu’en dépit de notre action, d’importants problèmes se manifestent en lien avec la dégradation sociale du pays.
Nous constatons que l’État n’est pas au rendez-vous, diminue les crédits pour la construction de logements sociaux, a développé des choix fiscaux favorables à l’explosion des prix du foncier et de l’immobilier, n’a pris aucune mesure visant à réguler raisonnablement ce secteur et le dérapage de certains loyers. En dix ans, la participation de l’État à la réalisation d’un logement social a chuté et dans le même temps celle des collectivités locales a plus que doublé. Pourtant la compétence logement demeure celle de l’État. Les agglomérations qui ont accepté la délégation des aides à la pierre constatent leur diminution voire leur quasi disparition.
L’État se désengage et reste sans réaction effective face aux nombreuses communes qui refusent d’agir et d’appliquer la loi SRU. Dix ans après son vote, l’inertie de certains maires est intolérable et nuit gravement à l’équilibre social et républicain de notre pays. Pour les élus de la République, ce n’est
plus possible de rester sans réponse face à cette situation. Nous le disons tout net : nous n’acceptons plus l’inacceptable. Il n’est pas possible qu’un grand pays développé comme la France ne soit pas capable d’assurer à chacun un logement décent, à un prix abordable en lien avec ses ressources.
Nos collectivités sont prêtes à y prendre toute leur part, mais pour répondre à la grave crise du logement, le pays a besoin d’un engagement sans précédent de l’État et par conséquent, le gouvernement doit y mettre les moyens, financiers et législatifs.
C’est la raison de cet appel.
Nous ne pouvons plus accepter que l’État et le gouvernement ne donnent pas aux territoires, en particulier là où les besoins sont criants, les moyens de relever ces défis. Nous prendrons à témoin les Français : nous faisons beaucoup pour permettre l’accès de tous à un logent décent. Nous voulons faire plus pour répondre davantage aux besoins de nos concitoyens et résorber progressivement le mal logement. L’État doit assumer ces responsabilités et prendre immédiatement les décisions qui s’imposent.
Nous nous engageons à :
1. Construire massivement des logements sociaux, des logements à prix abordables et répondant à la diversité des besoins (jeunes, étudiants, personnes en perte d’autonomie, familles de différentes tailles...), en respectant les normes BBC (bâtiment basse consommation). Nous estimons que notre pays doit dès à présent atteindre la création de 150 000 logements sociaux supplémentaires effectifs par an.
2. Imposer 1/3 de logements sociaux dans chaque nouveau projet de construction d’une certaine taille et concevoir tout nouveau projet d’urbanisme dans un esprit de mixité sociale (locatif social, accession sociale, secteur privé).
3. Faire un repérage complet de l’ensemble des logements vides pour augmenter la taxe sur les logements vacants afin de sensibiliser les propriétaires, favoriser la remise en état, en location ou en vente et proposer aux propriétaires des solutions pour louer solidaire.
4. Accroître les moyens consacrés à des réserves foncières disponibles pour réaliser des logements en lien avec les établissements publics fonciers régionaux et en aménageant des terrains publics.
Cet effort nouveau ne peut se mettre en place qu’à la condition que de son côté l’État :
1. Agisse pour stopper les dérives des prix de l’immobilier et des loyers dans certains secteurs ce qui suppose :
> D’encadrer les loyers du privé à la relocation. Au moment de la remise des logements sur le marché, ou relocation, les loyers sont libres et connaissent des augmentations hors de proportion par rapport à l’évolution des revenus des ménages.
> De revoir complètement les dispositifs abusifs d’aide à l’investissement locatif privé (type De Robien, Borloo, Scellier) et ne réserver les aides que pour des produits dont les loyers seront inférieurs à ceux du logement social intermédiaire. Les crédits ainsi dégagés permettront de soutenir l’aide aux HLM.
2. Accroisse l’aide à la pierre pour la construction de logements sociaux PLUS et PLAI. Il n’est pas acceptable que des villes se voient refuser des crédits adaptés à la réalité économique de leurs territoires et à leurs facultés contributives lorsqu’elles veulent combler les retards en logements sociaux.
3. Assure une ressource suffisante pour financer le logement social en garantissant une remontée à plus de 70 % de la collecte du livret A à la Caisse des dépôts pour éviter la spéculation bancaire avec l’épargne populaire.
4. Limite l’accès aux prêts à taux zéro aux foyers modestes et moyens pour relancer l’accession sociale à la propriété et supprime ces subventions aux plus aisés. Les ressources ainsi dégagées pourraient être affectées aux établissements publics fonciers.
5. Augmente la taxe sur les logements vacants dans les zones les plus tendues.
6. Fasse appliquer immédiatement la loi SRU en particulier dans les villes où n’est pas engagée à un rythme soutenu la réalisation de logements sociaux pour résorber le retard. Impose par la loi l’obligation que toutes les opérations dépassant 12 logements comprennent au moins 1/3 de logements sociaux.
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Depuis son accession à la tête du Conseil général, Claude Bartolone mène un combat contre le capitalisme financier et les banques pour faire reconnaître par la justice le rôle nocif qu'elle ont joué en accordant, notamment aux collectivités locales, des emprunts toxiques.
Le 8 février, Claude Bartolone a décidé de porter plainte, au nom du département, contre 3 banques.
Retourvez ses explications dans l'interview qu'il a accordée au journal Le Parisien :
" Pourquoi assignez-vous en justice Dexia, Depfa et Calyon ?
CLAUDE BARTOLONE. Lorsque je suis devenu président du département en 2008, j’ai découvert dans le bilan de mes prédécesseurs l’existence d’emprunts toxiques. J’ai immédiatement fait cesser ces pratiques et, en deux ans et demi, nousavons ramené le taux de toxicité de la dette de 97% à 72%. Parallèlement, nous avons interpellé toutes les banques nous ayant vendu des prêts structurés afin qu’elles acceptent de renégocier ces emprunts. La plupart d’entre elles nous ont traités avec le plus grand mépris. L’attitude la plus provocante est venue de Dexia qui propose, pour l’un des contrats qui nous lie, de reprendre un stock de capital de 51 M€ moyennant une indemnité de remboursement de 33 M€ Nous avons tenté d’être diplomates, ça n’a pas marché. Voici donc venu le temps de la guerre. La justice va être saisie, par voie d’huissier, aujourd’hui pour Depfa, demain pour Calyon et d’ici à la fin de la semaine pour Dexia.
Que réclamez-vous ?
L’annulation pure et simple des emprunts toxiques. Nous rembourserons aux banques le capital dû, c’est-à-dire les sommes d’argent que celles-ci nous ont effectivement prêtées, mais nous demandons à la justice que les banques nous reversent le montant des intérêts illégitimes que nous avons payés depuis la signature du prêt.
Combien cela représente-t-il ?
Par exemple, pour tes trois prêts que nous avons chez Dexia nous avons payé 13,8 M€ d’intérêts jusqu’ici.
Quelles ont été les conséquences de ces emprunts toxiques pour les contribuables de Seine-Saint- Denis ? Avez-vous augmenté
Non, le relèvement de la fiscalité locale n’a aucun lien avec ces prêts, car jusqu’à présent les intérêts que nous remboursions étaient calculés à partir de taux fixes. Ce n’est pas tant ce que nous avons remboursé à ce jour qui pose problème, mais plutôt à venir. Dès cette année, par exemple, le prêt contracté auprès de Depfa va nous coûter 1,5 M€ supplémentaires, soit le coût d’une crèche ! Son taux d’intérêt est passé de 1,47 % à 24,2 % !
Espérez-vous faire des émules parmi les autres élus locaux devant rembourser des emprunts toxiques ?
Bien sûr. Les collectivités locales ont souscrit des dizaines de milliards d’euros d’emprunts toxiques. Et encore, ce chiffre est très incertain. J’ai eu beau déposer des amendements à l’Assemblée pour exiger des banques qu’elles publient la part des prêts toxiques dans leur bilan, rien ne s’est passé. Sur ce point, le gouvernement porte une énorme responsabilité."
Rédigé à 14:00 dans Actualité, Aux Lilas et alentours, Dans la presse... | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Alors que depuis des mois, le président de la République, oubliant son rôle constitutionnel de garant de la séparation des pouvoirs et de l'indépendance de la justice, exploite le moindre fait divers pour décrédibiliser l'institution judiciaire et utilisant le populisme le plus éhonté, Marie-Pierre de la Gontrie, secrétaire nationale aux libertés et à la justice, a souhaité apporter le soutien des Socialistes aux gens de justice qui se mobilisent légitimement.
Retrouvez son intervention en vidéo :
Rédigé à 13:48 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Retrouvez toutes les propositions des Socialistes : www.parti-socialiste.fr/lePSpropose
Rédigé à 16:50 dans Actualité, Vie du Parti socialiste | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Le mouvement de défense de l'hôpital public (MDHP) lance une grande pétition pour la défense de l'hôpital public menacé par la politique de casse des services publics menée par la droite, Sarkozy et son gouvernement.
POUR DÉFENDRE VOTRE HÔPITAL PUBLIC ASSURANT L’ACCÈS ÉGAL POUR TOUS À DES SOINS DE QUALITÉ, SIGNEZ LA PÉTITION NATIONALE QUI SERA ADRESSÉE AU PARLEMENT ET AU GOUVERNEMENT :
« Je défends l’Hôpital Public, lieu de formation des professions médicales et paramédicales, de l’innovation et des progrès thérapeutiques, qui offre à tous, sans discrimination, des soins de qualité.
Je m’oppose à son démantèlement qu’annoncent d’une part un nouveau mode de direction qui aura pour souci principal la rentabilité, d’autre part des suppressions d’emplois non justifiées qui altèreront la qualité des soins. L'Hôpital Public doit avoir un financement lui permettant de remplir ses missions.»
Parce que c'est l'affaire de tous, parce que chacun est concerné, signez la pétition ici.
Rédigé à 09:29 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Hausse des violences, des cambriolages, dégradation des conditions de travail des forces de sécurité... Le ministre de l'Intérieur a passé sous silence l'échec de sa politique lors de ses voeux à la presse. Jean-Jacques Urvoas, secrétaire national à la sécurité, propose un décryptage des voeux à la presse de Brice Hortefeux.
Ce qu'a dit le ministre: depuis huit ans, la délinquance a baissé, a affirmé le ministre de l'Intérieur, notamment cette année, de 2,1%.
La réalité: cette baisse est due à la forte baisse tendancielle des vols de véhicules depuis douze ans, qui recule grâce à la meilleure protection - alarmes et dispositifs d'immobilisation - offerte par l'industrie automobile. Ces vols étant très nombreux, leur recul fait mécaniquement chuter l'ensemble, qui n'a «aucune signification réelle».
Ce que vivent les Français: l'aggravation de la délinquance du quotidien est ressentie partout sur le terrain.
Ce qu'a dit le ministre: «l'augmentation des cambriolages a été quasiment stoppée en 2010». (source)
La réalité: Cette statistique ne prend en compte que les cambriolages dans les locaux industriels et commerciaux.
Ce que vivent les Français: les cambriolages dans les domiciles ont progressé de plus de 12,5%, dont une hausse de 46% au mois de décembre à Paris.
Ce qu'a dit le ministre: «le cap fixé par le président de la République est clair : nous ne lâcherons rien».
La réalité: le gouvernement et le chef de l'Etat abandonnent la sécurité.
Ce que vivent les Français: Le niveau des effectifs est inférieur à celui de 2002. 10.700 postes ont été supprimés depuis 2007. D'ici 2013 6.700 autres postes disparaîtront, selon les déclarations de Frédéric Péchenard et Jacques Mignaux devant l'assemblée nationale.
Jeudi, les socialistes ont appris les menaces de fermeture de deux compagnies de CRS, à Sainte-Foy-Les-Lyons et Marseille. C'est la première fois depuis 1944 qu'on supprimerait une compagnie de CRS.
Pour l'année à venir, 1.925 postes de gardiens de la paix et 757 postes de gendarmes disapraîtront.
Le résultat: des réformes inapplicables. Par exemple, avec les gardés-à-vue doivent maintenant aller dans les unités médico-judiciaires avec une escorte. «Pour la Loire-Atlantique, ça représente 25.000 heures, soit 15 à 16 personnels» explique Jean Jacques Urvoas. Une charge de travail impossible à absorber avec les réductions d'effectifs.
Ce qu'a fait le ministre: des visites à Toulon, Hyères, Perpignan, Argelès, Lyon, Grenoble pour annoncer plus de moyens.
La réalité: Au total, cela fait à peine 30 adjoints à la sécurité en plus, qui ne sont pas des forces de sécurité de plein exercice: ils ne peuvent participer à des opération de police judiciaire ou de maintien de l'ordre.
Quant aux annonces d'unités nouvelles, ce n'est que le redéploiement d'effectifs qui existaient déjà sur le terrain. Les policiers de la force anti-émeutes inaugurée à Grenoble se trouvaient déjà tous en Isère, tout comme ceux de la brigade spécialisée de terrain lancée à Toulon.
Rédigé à 15:31 dans Actualité, Analyses | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Bruno Julliard, Secrétaire national à l'éducation, a expliqué ce lundi matin en point presse les raisons du soutien du PS à la manifestation du samedi 22 janvier des acteurs de l'éducation.
Rédigé à 09:51 dans Actualité, Education | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Martine Aubry, première secrétaire du Parti socialiste, a estimé vendredi que le départ du président tunisien Ben Ali "doit permettre la transition démocratique". La France doit "s'engager sans ambiguïté en faveur de la démocratie en Tunisie".
"Depuis près d'un mois, les Tunisiens se mobilisent et manifestent pour demander plus de liberté et plus de justice. Ils ont subi la répression brutale du pouvoir, qui a fait de nombreuses victimes. Le départ du Président Ben Ali doit permettre la transition démocratique".
"Cela passe par la libération de l'ensemble des prisonniers politiques, l'établissement de toutes les libertés démocratiques et la préparation d'élections libres dans les meilleurs délais".
"La diplomatie française doit s'engager sans ambiguïté en faveur de la démocratie en Tunisie, à laquelle le peuple tunisien a montré qu'il aspirait avec force", a ajouté Martine Aubry.
Rédigé à 17:43 dans Actualité, International | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Communiqué de Claude Bartolone, député et président du Conseil général de Seine-Saint-Denis :
J’ai pris connaissance aujourd’hui de la répartition des suppressions de postes par département pour l’Académie de Créteil : la Seine-Saint-Denis est à nouveau sacrifiée ! Cette situation est totalement inadmissible !
La Seine-Saint-Denis est le seul département de l’académie qui perd des postes dans ses collèges avec 40 suppressions !
Pourtant, cette année l’évolution démographique de notre département fait qu’il y a l’équivalent d’un collège en plus. En 2013, nous aurons 3500 collégiens supplémentaires soit un total 70 000 collégiens ! C’est pour répondre à cette évolution que le Conseil général s’est engagé dans un Plan exceptionnel d’investissement d’un montant de 703 millions visant à la construction et la rénovation de 21 collèges, 9 cuisines centrales et 12 gymnases.
« Le Ministère de l’Education ne semble vraiment pas prendre la mesure de la situation du département. Cela m’inquiète tout particulièrement »
Il justifie cette baisse par un taux d’encadrement supérieur en Seine-Saint-Denis. Comment peut-on sous-entendre, quand on connait la situation économique et sociale de ce département, les difficultés qu’il traverse, que la Seine-Saint-Denis est un territoire privilégié ?
Non seulement le Ministre continue de sacrifier méthodiquement l’ensemble du service public d’éducation, mais par ses décisions, va accentuer dramatiquement les difficultés des collégiens de la Seine-Saint-Denis et obérer leur chance de bénéficier d’une école publique seule garante d’un enseignement de qualité accessible à tous.
Cette politique va déstabiliser encore un peu plus un système déjà fragile. Tous les rapports récents, comme le rapport PISA, ont montré un accroissement des inégalités. En Seine-Saint-Denis, les taux de réussite sont inférieurs de presque 10 points à la moyenne nationale ! 54% des élèves sont issus d’une catégorie sociale dite « défavorisée ». Aujourd’hui les annonces du gouvernement ne vont que renforcer cette situation.
Je demande aux associations de parents d’élèves et à l’ensemble de la communauté éducative de notre département de se mobiliser contre cette décision.
Rédigé à 17:50 dans Actualité, Education | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Quinze ans après sa disparition, le président François Mitterrand reste, pour les Socialistes, un modèle et un guide.
Aux Lilas, comme ailleurs, les Socialistes lui rendent hommage et entendent rester fidèle à son action politique.
Rédigé à 19:06 dans Actualité, Vie du Parti socialiste | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 17:15 dans Actualité, Analyses | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Au nom des Socialistes, Martine Aubry, première secrétaire, a présenté ses voeux pour l'année 2011 aux Français.
Retrouvez ci-dessous la vidéo de son intervention :
Rédigé à 17:11 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Martine Aubry, première secrétaire du Parti socialiste, s'est exprimée, samedi 11 décembre, en clotûre de la convention sur l' "égalité réelle".
Rédigé à 09:13 dans Actualité, Vie du Parti socialiste | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)